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MR. COTTAM: Yes, sir. SENATOR SMITH: How far had you gotten along in your arrangements to retire? MR. COTTAM: Well, I was about to retire. SENATOR SMITH: Had you disrobed — taken off your clothes? MR. COTTAM: No, sir. SENATOR SMITH: Had you taken of your shoes? MR. COTTAM: No, sir. SENATOR SMITH: Had you taken off any of your clothing? MR. COTTAM: I had my coat off. SENATOR SMITH: When you took your coat off, did you have any instruments attached to your head? MR. COTTAM: Yes, sir. SENATOR SMITH: What? MR. COTTAM: Telephones. SENATOR SMITH: How did you happen to leave that on? MR. COTTAM: I was waiting for the Parisian. SENATOR SMITH: How long would you have waited; just long enough to undress? MR. COTTAM: I would have waited a couple of minutes. I had just called the Parisian and was waiting for a reply, if there was one. . . . SENATOR SMITH: So you kept this telephone on your ears, on your head? MR. COTTAM: Yes, sir. SENATOR SMITH: On your head? MR. COTTAM: Yes. SENATOR SMITH: With the hope that before you got into bed you might have your message confirmed? MR. COTTAM: Yes, sir. SENATOR Small: Was that what you had in mind? MR. COTTAM: Yes, sir. SENATOR SMITH: What did you hear at that time? MR. COTTAM: I heard nothing, sir. SENATOR SMITH: How soon? You heard something pretty quick, did you not? MR. COTTAM: No, sir; I went back onto Cape Cod again. SENATOR SMITH: And still left this apparatus on? MR. COTTAM: Yes, sir. SENATOR SMITH: Did you send a message to Cape Cod? MR. COTTAM: No, sir. SENATOR SMITH: Did Cape Cod send a message to you? |
M. COTTAM : Oui, monsieur. LE SÉNATEUR SMITH : Jusqu’où vous êtes-vous entendus pour prendre votre repos? M. COTTAM : J’étais sur le point de prendre mon repos. LE SÉNATEUR SMITH : Vous êtes-vous déshabillé? M. COTTAM : Non, monsieur. LE SÉNATEUR SMITH : Avez-vous enlevé vos chaussures? M. COTTAM : Non, monsieur. LE SÉNATEUR SMITH : Aviez-vous enlevé vos vêtements? M. COTTAM : J’avais enlevé mon manteau. LE SÉNATEUR SMITH : Lorsque vous avez enlevé votre manteau, aviez-vous des instruments attachés à votre tête? M. COTTAM : Oui, monsieur. LE SÉNATEUR SMITH : Quoi? M. COTTAM : Des téléphones. LE SÉNATEUR SMITH : Comment avez-vous pu laisser cela allumé? M. COTTAM : J’attendais le Parisian. LE SÉNATEUR SMITH : Combien de temps auriez-vous attendu, juste assez longtemps pour vous déshabiller? M. COTTAM : J’aurais attendu quelques minutes. Je venais d’appeler le Parisian et j’attendais une réponse, s’il y en avait une... LE SÉNATEUR SMITH : Vous avez donc gardé ce téléphone sur vos oreilles, sur votre tête? M. COTTAM : Oui, monsieur. LE SÉNATEUR SMITH : Sur votre tête? M. COTTAM : Oui. LE SÉNATEUR SMITH : Avec l’espoir qu’avant de vous coucher, votre message pourrait être confirmé? M. COTTAM : Oui, monsieur. LE SÉNATEUR SMITH : Est-ce à cela que vous pensiez? M. COTTAM : Oui, monsieur. LE SÉNATEUR SMITH : Qu’avez-vous entendu à ce moment-là? M. COTTAM : Je n’ai rien entendu, monsieur. LE SÉNATEUR SMITH : Quand? Vous avez entendu quelque chose assez rapidement, n’est-ce pas? M. COTTAM : Non, monsieur; je suis retourné à Cape Cod. LE SÉNATEUR SMITH : Et vous avez quand même laissé cet appareil allumé? M. COTTAM : Oui, monsieur. LE SÉNATEUR SMUTI : Avez-vous envoyé un message à Cape Cod? M. COTTAM : Non, monsieur. LE SÉNATEUR SMITH : Est-ce que Cape Cod vous a envoyé un message? |
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